Je reviens d’un récent voyage à Baltimore (États-Unis), ville dont j’ai déjà eu l’occasion de vanter les huîtres, mais qui est surtout célèbre pour ses crabes, spécialité locale emblématique.
Des crabes, on en voit partout.
Je reviens d’un récent voyage à Baltimore (États-Unis), ville dont j’ai déjà eu l’occasion de vanter les huîtres, mais qui est surtout célèbre pour ses crabes, spécialité locale emblématique.
Des crabes, on en voit partout.
Lors de mon voyage dans les îles hawaïennes, j’ai eu l’occasion de voir des orchidées sauvages dans le Parc des Volcans sur la Grande Île. Puis, en visitant les Akatsuka Gardens, près de Hilo, de découvrir quelques orchidées cultivées, parmi les milliers qui existent.
Je vous invite, pour le plaisir des yeux, à la découverte de ces étonnantes orchidées. Désolée de ne pas toujours connaître le nom précis de chaque fleur, même si — dénomination botanique oblige — il est en latin.
On célèbre en 2016 le centenaire de la création du Parc National des Volcans (Hawai’i Volcanoes National Park) dans l’île d’Hawai’i.
C’est l’occasion pour moi de rappeler combien les volcans sont associés à des dieux ambivalents — à la fois bienfaisants et malveillants — dans la mythologie hawaïenne comme dans la mythologie gréco-latine.
Aloha ! Je viens de passer deux semaines à Hawaii — je devrais dire plutôt dans l’archipel hawaïen, où j’ai visité les îles d’O’ahu (où se trouve Honolulu), de Kaua’i (au Nord) et d’Hawai’i alias “The Big Island” (au Sud).
Le seul nom d’Hawaii fait surgir dans les esprits les images d’un paradis terrestre : plages, canyons, volcans, ciel bleu et soleil. Et, bien sûr, toute une flore et une faune insolites et superbes, pour embellir le mythe !
Alors, pour confirmer cette vision idyllique — devenue un cliché dans les films hollywoodiens, mais encore largement soutenue par l’Hawaii Visitors and Convention Bureau —, je vous propose d’abord un panorama de quelques merveilles naturelles. Ensuite, nous parlerons de la langue et de la culture hawaïennes.
En décembre, à l’approche des fêtes occidentales de fin d’année (Noël et Jour de l’An), on consomme beaucoup de chocolat. Qu’il soit noir ou blanc, au lait ou aux noisettes, en tablette ou en bouchée, glacé ou chaud, à croquer, à boire ou à cuire, le chocolat plaît sous toutes ses formes !
Mais d’où vient son nom, et quelle est son histoire ?
“La gloire des continents” — pourquoi ce titre ?
Sur la Grand’Place de Bruxelles, au coin donnant sur la Rue de la Tête d’Or, se trouve le remarquable bâtiment ci-dessus. Il s’agit de la Maison de la Corporation des Merciers, qui existe depuis le XVè siècle, mais a été reconstruite en 1699. Porteur de nombreux ornements et d’une devise en latin, cet édifice m’a frappée par ses nombreuses statues à l’antique représentant les continents.
J’ai distingué cinq statues qui m’ont particulièrement intéressée.
J’ai passé la troisième semaine de septembre en Belgique.
Je n’ai visité que trois villes (Bruges, Bruxelles et Ostende), mais j’y ai fait beaucoup de belles trouvailles linguistiques et iconographiques.
En l’honneur des nombreux Belges lecteurs de mon blog, et en souvenir de mes anciens élèves belges latinistes, je me suis particulièrement intéressée à ce qui avait trait à la langue et à la civilisation latines dans ce pays.
Je garantis l’authenticité des photos que je présente — un petit échantillon par rapport à tout ce que j’ai vu.
Lors de mes vacances en France, j’ai visité la ville de Saintes, en Charente-Maritime.
J’y ai vu de belles ruines gallo-romaines et j’y ai aussi rencontré quelques célèbres Romains !
Chez les Romains, le mois de juin était consacré à la déesse Junon, mais d’autres traditions en font également le mois du dieu grec Hermès, devenu Mercure (Mercurius) en latin.
Sur la photo de couverture, il surmonte l’entrée d’un grand hôtel de Baltimore (États-Unis), et figure à gauche avec tous ses attributs.
Pourquoi un hôtel ? Pourquoi ces statues ? Et pourquoi l’emploi fréquent des noms d’Hermès ou de Mercure dans notre monde contemporain ?
… ou plutôt du “rye whiskey”— comme on dit aux États-Unis — du W.T.W., selon le monogramme du fondateur de la distillerie, William T. Walters (1819-1894), ainsi que, via son fils, du Musée Walters de Baltimore.
Continue reading “Au musée Walters, tout commença avec du whisky …”