J’ai passé quelques jours en août à Samarcande. Quel voyage !
Depuis que j’ai eu l’occasion d’écrire un paragraphe dans un article sur Tachkent en collaboration avec Anne-Charlotte, je rêvais d’aller en Ouzbékistan ! D’ailleurs, grâce à son blog, et notamment son article sur Samarcande, j’avais déjà quelques informations et impressions sur cette magnifique cité.
Je savais qu’il serait très difficile d’y retrouver des traces de l’Antiquité gréco-romaine, même si la ville a une longue Histoire — ayant été fondée vers 700 avant notre ère — et que le site archéologique est vaste.
Car ce qui a fait la renommée mondiale de Samarcande — dans l’Antiquité déjà, carrefour de commerce entre la Chine et Rome sur la Route de la Soie — c’est plutôt la splendeur des monuments érigés aux XIVè et XVè siècles.
Cependant, lors de sa conquête progressive de l’Asie, Alexandre III de Macédoine, dit Alexandre le Grand, y séjourna avec son armée, en 328 avant notre ère. La ville était alors appelée Maracanda (en latin).