C’étaient de très grands vents sur toutes faces de ce monde / De très grands vents en liesse par le monde, qui n’avaient d’aire ni de gîte … — ainsi commence le recueil poétique de Saint-John Perse intitulé Vents (éd. Gallimard, 1960).
En cette saison où, dans les océans et sur les terres, se déchaînent ouragans, cyclones et typhons, je me suis demandé comment étaient considérés les vents dans l’Antiquité gréco-romaine.